dimanche 29 janvier 2017

jeudi 26 janvier 2017

Piscine du plateau-Est: L'avis du 4ème mousquetaire...

Comme chacun le sait, les Trois Mousquetaires étaient en fait quatre.

Le dernier, le maire de BELBEUF, où devrait être installée la piscine si elle voit le jour, a donné son sentiment à l'occasion des vœux dans sa commune. Pas optimiste, Jean-Guy LECOUTEULX...



Je rappelle notre position sur la piscine du plateau-Est:

1/ Aujourd'hui compte tenu des finances locales contraintes, Le coût d'installation et de fonctionnement d'un tel équipement n'est plus à la portée d'une commune, voire même de plusieurs...

2/ Du fait de la taille, l'agglomération rouennaise bénéficie de l'opportunité d'être devenue depuis 2015 une métropole. Après Grenoble qui l'avait anticipé, d'autres agglomérations (Brest, Montpellier...) ont transféré la gestion des piscines et installations nautiques à la nouvelle instance supra-communale. C'est à nos yeux à terme la seule solution réaliste à laquelle il faudra se rallier...

3/ Problème: Aujourd'hui, le Président de la métropole n'est pas pressé de récupérer un problème supplémentaire coûteux et forcement clivant entre les maires qui sont déjà équipés de bassins, et ceux qui en sont dépourvus (ou qui ont des bassins nécessitant d'importants travaux d'entretien). 
Et de leur côté, chaque maire qui a déjà été dépossédé de sa compétence urbanisme/voirie au bénéfice de la Métropole il y a 2 ans, n'est pas prêt à délaisser ses prérogatives de premier élu de la Commune sur l'équipement qui est de loin et toutes sensibilités confondues, plébiscité ou réclamé par ses électeurs comme indispensable au bien vivre sur la commune.

Cette position, nous l'avons exprimée directement au Président de la Métropole dès le mois de février 2014, ça ne l'a pas fait sauter de joie...

Cette position, nous l'avons rappelée aussi en Conseil municipal, elle n'a pas emballé Philippe LEROY non plus, qui préfère croire à la responsabilité de ses collègues maires du plateau-Est pour porter un projet commun. Si vous réussissez Monsieur le Maire, je saurai le reconnaître et vous "tirer mon chapeau (de mousquetaire, bien sûr)" 

jeudi 19 janvier 2017

La piscine des 3 mousquetaires

Il y a des jours où l'on se dit que l'avenir est prévisible (voir le billet de lundi). 

Dans la livraison de Paris-Normandie du Vendredi 13, un signe?, nos trois mousquetaires du plateau-Est réagissent à la déclaration du Président de la Métropole. Deux campent sur leurs positions et le troisième est sceptique sur la capacité de s'entendre entre eux!

On va devoir attendre un peu pour préparer nos maillots de bain.


lundi 16 janvier 2017

La piscine sur un plateau?

Lors des vœux de la Métropole, le Président Frédéric SANCHEZ a repoussé l'hypothèse d'une reprise de la compétence piscine par la Métropole.

Il se déclare favorable à la création d'un fonds piscine à travers lequel la collectivité pourrait prendre la maîtrise d'ouvrage de la piscine du plateau Est, mais la Métropole laisserait les communes en gérer le fonctionnement.

C'est incontestablement une ouverture. Mais pour autant le problème n'est pas résolu. Quel type d'ouvrage la Métropole sera-t-elle prête à financer: A minima, le bassin d'apprentissage prôné par le maire de BONSECOURS ? Ou le centre aquatique de remise en forme plus complet (donc plus onéreux) défendu par les autres maires. Et dans quelle variante : avec sauna "humide" défendu par Philippe LEROY (Franqueville) mais auquel s'oppose Norbert THORY (Mesnil-Esnard) parce qu'il ferait concurrence à la salle de sport des culturistes du "Haut-Hubert".

La balle est dans le camp des maires. On va voir s'ils sauront être raisonnables pour s'entendre sur une position commune susceptible de faire avancer le dossier.

Par le passé, Philippe LEROY, Président de l'amicale des maires du plateau-Est, nous a déclaré à plusieurs reprises qu'il avait été à deux doigts de conclure. Eh bien! Vas-y mon grand, c'est maintenant... ou jam...!

Pour notre part, nous maintenons notre position que des coûts aussi élevés relèveraient plutôt d'une prise en charge donc d'une compétence supra-communale quand elle est possible. C'est d'ailleurs la tendance qui se dessine dans les autres métropoles de France.

Mais après tout, ce qui comptera c'est le résultat. Et si nos maires sont capables d'être raisonnables et de s'entendre, nous les en féliciterons.