lundi 8 janvier 2018

Ça s'est passé en 2017. Rétrospective d'une année riche en évènements...

Janvier: Vœux du maire, la ZAC reste une priorité, mais contrairement à ce qui avait été promis, NEXITY ne versera pas la contribution d'équipement de 144.000€ en 2017.

Janvier: Conseil municipal, la construction d'une maison des associations est votée à la quasi-unanimité du conseil à l'emplacement de l'ancienne mairie de Notre-Dame qui sera détruite. 

Février: A Belbeuf lors de la réception des nouveaux habitants, en parlant du projet de piscine, le Maire Jean-Guy LECOUTEULX fustige ses collègues : "Les élus les plus bêtes de France sont réunis sur le plateau-Est". 

Mars: Conseil municipal, lors de l'examen du budget Philippe Leroy déclare: "Je suis tenu par le remboursement de la dette". Ce qu'il ne précise pas, c'est que c'est lui qui l'a creusée en 2004 avec son hôtel de ville surdimensionné. 

Mars: Philippe LEROY et Charles REVET, UMP 76 "canal historique", se précipitent et sont les premiers à parrainer la candidature de François Fillon. 

Mars: Conseil municipal, nous votons contre le budget 2017 en refusant de cautionner la dépense faramineuse du clocher de Saint-Pierre, projet cultuel d'un seul homme pour lequel la population n'a pas été consultée. 

Mars: la Commune ressort parmi les 5 de Seine-Maritime qui ne respectent pas ses obligations en matière de logement social. Le maire proteste de son impossibilité de trouver des terrains disponibles. Il fait le forcing afin qu'on l'autorise à mettre en chantier sa chère ZAC du Val aux Daims.

Mars: Conseil municipal, le maire fait voter un sursis à statuer sur Le terrain de la Maison-Blanche. Il profite de cette délibération pour ouvrir la possibilité d'une deuxième ZAC à cet endroit, au cas où... 

Avril: Mobilisation des riverains du quartier Pasteur/Val aux daims. Colère du maire vis-à-vis de la presse régionale qui ose rendre compte d'une opposition à ses projets d'urbanisme. 

Mai: Contre-attaque de Philippe LEROY qui sollicite officiellement une procédure de déclaration d'utilité publique directement auprès de la Préfète de Seine-Maritime, en court-circuitant la Métropole. 

Juin: Françoise GUEGOT, députée sortante secrétaire départementale de l'UMP, est balayée par La vague de "dégagisme" post-présidentielle. 

Juillet: Conseil métropolitain, Philippe Leroy persiste et signe face au risque de carence: il n'a aucune "dent creuse" chez lui. Il n'a pas pu rédiger de contrat de mixité sociale comme l'ont fait ses collègues, il ne demandera même pas d'exception pour sa commune. Il ne s'opposera pas à la validation par le conseil métropolitain du constat de carence. 

Septembre: Vive les Modulables! Ils sont fin prêts à la rentrée pour remplacer les deux anciens préfabriqués hors d'âge. Une satisfaction pour tous. 

Septembre: Le miracle de l'été. On vient de trouver un terrain disponible en plein cœur de Franqueville. Le Conseil vote la préemption au bénéfice de l'Etablissement Public Foncier de Normandie. 

Octobre: Décès d'Henri LUCAS, maire de Franqueville Saint-Pierre de 1983 à 1995. Service plus que minimum de la municipalité pour le prédécesseur du maire actuel. 

Octobre: Conseil municipal, on ne tient pas compte des leçons du passé et pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué: Nouvelle recherche d'un conseil d'avocat en province. Après l'échec de l'épisode de l'avocat de RENNES, la commune va chercher aujourd'hui un avocat à LYON pour accompagner le montage juridique autour de la piscine. 

Octobre: Construction d'un gigantesque échafaudage sur le pas de tir de Saint-Pierre de Franqueville. Le clocher de la deuxième église du village devrait être mis en orbite au printemps 2018 et pourrait se révéler à terme le plus important chantier conduit par Philippe LEROY au cours de son mandat. 

Novembre: la commune de Franqueville Saint-Pierre se voit notifier officiellement par la Préfète de Seine-Maritime son état de carence. Nous avons le triste privilège d'être la seule commune de la métropole Rouen Normandie et de Seine-Maritime à essuyer cette sanction. 

Novembre: Surprise, surprise ! Après le miracle de la première dent creuse de l'été, ce sont 2 nouvelles parcelles importantes qui vont se libérer à l'automne… Le conseil du 30 novembre 2017 peut donc valider à l'unanimité un contrat de mixité sociale sans avoir besoin de recourir à une quelconque extension en zone périphérique agricole par voie de ZAC.

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