samedi 17 septembre 2016

Pourquoi le maire ne jurait que par la ZAC (2)


En 2007, période faste, Philippe LEROY alors maire de FRANQUEVILLE SAINT-PIERRE avait pu faire financer un vaste Hôtel de ville par l'aménageur de la ZAC Galilée. A son retour aux affaires en 2014, il souhaite doubler ou tripler la mise et veut relancer une nouvelle ZAC sur la commune.


Tant que je gagne, je rejoue!

Son intérêt se porte sur une zone de 21 hectares aux lieux-dits  "La Lorie - Les Parquets", en haut de la ravine du Val aux Daims. Il avait fait voter en décembre 2007 par son conseil une qualification en Zone à Aménagement Différé (ZAD) qui a pour effet de bloquer les transactions immobilières sur le secteur. Mais il n'aura pas le temps d'aller plus loin: il sera battu en 2008, pour partie en réaction contre le développement de l'urbanisation: "STOP AU BÉTON" à FRANQUEVILLE SAINT-PIERRE. Parenthèse de 6 ans.

Revenu aux responsabilités municipales en mars 2014, Philippe LEROY n'en croit pas ses yeux: il constate que la municipalité HUSSON n'a pas bloqué la possibilité d'urbanisation de la zone. Il reprend le projet là où il l'avait laissé 7 ans plus tôt. Ce sera l'oeuvre de sa vie!

Mais entre temps, si les choses n'ont pas changé sur le terrain, le contexte, la réglementation et les contraintes ont été profondément modifiées... (à suivre)

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